Philippe Richert, président du Conseil Régional du Grand Est annonce son soutien à la candidature de Nicolas Sarkozy pour la primaire de la Droite et du Centre.
J’ai confiance en Nicolas #Sarkozy pour redresser la #France. Je rejoins ls projets,l’ambition qu’il incarne #NS2017 pic.twitter.com/VFpmRGTsPF
— Philippe Richert (@PhilippeRichert) August 23, 2016
Le communiqué
« Depuis son élection à la tête du parti Les Républicains, Nicolas Sarkozy a pleinement joué son rôle de chef de l’opposition. Il a ressoudé notre famille politique en apaisant les guerres d’égo, redressé et assaini les finances du parti, redonné du sens à l’action de notre mouvement politique. Il a mis en place les conditions nécessaires à l’alternance tout en laissant s’installer un vrai débat politique. C’est en véritable leader qu’il nous a rassemblés. C’est en construisant un solide projet politique pour la France qu’il m’a convaincu.
Les préoccupations des Français ont évolué. La France a profondément changé en très peu d’années et aujourd’hui notre premier devoir est d’apporter des réponses adaptées aux attentes qu’expriment nos concitoyens. Les années de présidence de François Hollande laissent notre pays et notre société dans un état désastreux. Les Français souffrent d’une cohésion sociale défaillante, d’une confiance perdue en nos capacités et en nos institutions, de l’absence complète de vision.
La France souffre. Elle souffre d’un fort chômage et d’une faible croissance, d’une économie qui ne décolle pas, et elle souffre surtout de l’amateurisme d’un gouvernement qui n’a pas eu la force d’assumer des réformes nécessaires pour le pays aussi bien structurelles que politiques. Plus encore, notre pays doute de sa sécurité dans un monde en plein changement. De nouvelles menaces modifient profondément notre perception de notre communauté nationale. Nos valeurs les plus essentielles sont remises en cause.
Il n’y a pourtant pas de fatalité. Il est temps d’agir.
Nicolas Sarkozy est indiscutablement un homme qui a la capacité et la volonté de construire un projet économique ambitieux, de restaurer l’autorité de l’Etat et de réorganiser la France en réformant son fonctionnement. C’est l’homme de la situation. Comme beaucoup le savent, je ne suis pas un tenant de la droite forte. C’est en tant que centriste convaincu, fidèle à mes valeurs humanistes, attaché au dialogue et au respect de l’autre, soucieux du devenir des françaises et des français, que je m’exprime aujourd’hui et que je rejoins les projets et l’ambition qu’incarne Nicolas Sarkozy pour la France.»