Depuis le début du mois, les habitants du Grand Besançon sont soumis à la fameuse règle du : "plus c'est lourd, plus c'est cher". Besançon est la première ville de plus de 100 000 habitants à être concernée.
Le principe est simple : Les bacs à déchets résiduels possèdent une puce électronique permettant d’identifier le titulaire du contrat d’enlèvement des ordures (propriétaire, locataire, entreprise ou artisan). La facture repose sur une part fixe calculée en fonction du volume du bac et du niveau de service et d’une part variable établie en fonction du poids du contenu du bac et du nombre de levées. Bref. Pour faire simple, on paie au poid.
Imposée par le Grenelle de l'environnement, cette loi a bien sûr pour objectif d’encourager les bonnes pratiques de tri et de réduction des déchets.
En vigueur depuis le 1er septembre, on connaîtra lors des prochaines factures ce que cette "puce" aura changé. Réponse dans un trimestre.
Jérémie Chevreuil et Laurent Brocard ont suivi une tournée ce matin. Ces nouvelles poubelles à puces ne laissent personne insensible.