Un an de harcèlement moral. Un salarié de Peugeot, à Sochaux, a fini par craquer. Sa dépression nerveuse est reconnue comme une maladie professionnelle par la Sécurité Sociale.
Son frère jumeau travaillait chez Peugeot, à Sochaux, comme lui. Il a quitté l'entreprise après une condamnation pénale. Lui, qui n'avait rien à voir avec les ennuis de son frère, est devenu le souffre-douleur de ses collègues.
Peugeot se défend : il n'y a pas de harcélement moral.
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