Ils se plaignent, entre autres, de la vétusté des locaux de pharmacie dans lesquels une partie de la fac de lettres a été transférée.
Une centaine d'étudiants de la fac de lettres tient en ce moment même une assemblée générale. Leurs griefs sont nombreux.
Ils protestent contre la dégradation de leurs conditions d'étudiants avec la hausse du prix des transports notamment et le rapprochement entre les universités de Franche-comté et de Dijon.
Objet de leur colère également : la vétusté des locaux de l'ancienne faculté de pharmacie dans lesquels ils ont été transférés,