Le cavalier dijonnais Maxime Livio est au coeur d'une polémique

Aux jeux équestres mondiaux se déroulant à Caen du 23 août à ce dimanche 7 septembre, il a terminé 5ème du concours complet individuel et meilleur français. Mais son cheval a été contrôlé positif à un sédatif lors de l'épreuve de dressage.
Maxime Livio risque une disqualification. 

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Le président de la FFE souhaite "trouver la faille"

Serge Lecomte, président de la Fédération française d'équitation (FFE), a souhaité, samedi 6 septembre à Caen, "trouver la faille" après que l'échantillon A du cheval Qalao des Mers du Français Maxime Livio, 4e par équipes du concours complet des Jeux équestres mondiaux, eut été contrôlé positif à un sédatif.
"Le cavalier (également 5e en individuel) est aussi dans la surprise. Il ne comprend pas les choses. Il n'est pas seul autour du cheval, il y a beaucoup de monde", a souligné le président fédéral.
"Il y a l'équipe technique de la fédération, l'entraîneur national de la discipline, nos vétérinaires. Tout ça est très surveillé. Du côté de Maxime Livio,
il y a ses proches, son groom. Il faut trouver la faille dans ce système. Le produit n'a pas été inventé. Il a été décelé. Il faut trouver une réponse"
, a expliqué M. Lecomte.

La participation aux J.O. 2016 de Rio pourrait être remise en cause

Si l'échantillon B confirme la première analyse, le Tribunal de la Fédération équestre internationale (FEI) peut disqualifier le cavalier et l'équipe, qui avait
décroché son billet pour les JO de Rio grâce à cette 4e place.
"On n'est pas dans un caractère de dopage mais dans l'utilisation d'une médication règlementée, qui doit être accompagnée, encadrée, et qui ne doit pas être utilisée lorsqu'il y a des compétitions. Le dopage est fait pour donner de l'énergie, ce médicament-là (acépromazine) est un tranquillisant", a rappelé Serge Lecomte.
"Si le caractère positif est confirmé, la fédération ne prendra pas directement les sanctions. C'est l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) qui prendra le dossier en main et qui en assumera la décision finale, qu'on appliquera sans discuter", a conclu M. Lecomte.




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