Depuis quelques années, on ne compte plus les boutiques qui se proposent de racheter l'or. On peut aussi vendre ses vieilles bouteilles à des cavistes. De belles surprises à la clé... Pour le vendeur, comme pour l'acheteur.
Société
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Les vieux millésimes intéressent les collectionneurs et les cavistes. Ils sont de plus en nombreux à s'intéresser aux bouteilles qui dorment chez les particuliers et que ceux-ci pourraient mettre en vente. C'est ainsi que des cavistes Dijonnais ont pu acquérir des vins rares, de véritables petits trésors.
Philippe Perrin, est l'un de ces cavistes. Il est content d'avoir pu dénicher un Pouilly-Fuissé de 1957. L'étiquette couverte de poussière témoigne du temps passé bien à l'abri au fond d'une cave: celle d'un particulier qui en possédait 300. Autre trouvaille, un Richebourg (Domaine Vosne-Romanée) de 1955.
D'autres bouteilles, encore plus rares, sont sorties de l'ombre: un Champagne de 1911.
Ou encore un vin de Madère de 1845 et un vin du Jura du 18e siècle! Ces vins ont été conservés dans de parfaites conditions ce qui peut laisser espérer un contenu à la hauteur des espérances que laisse entrevoir le contenant.
Reportage : Anne Berger et Damien Rabeisen
Intervenants: Philippe Perrin - Sébastien Messager
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