La communauté urbaine de Besançon a identifié plusieurs points noirs concernant la circulation aux heures de pointe. Une étude est en cours autour du secteur de Chamars. Objectif principal: améliorer le trafic des transports en commun, en particulier les bus.

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Chaque matin et chaque soir, c'est le même scénario.

Les véhicules motorisés s'agglutinent, pare-chocs contre pare chocs, dans plusieurs axes de la ville. L'agglomération de Besançon, en charge des transports et des déplacement, a identifié ces points noirs: le secteur de Chamars, le Pont Canot, le Pont de la République, les alentours de la Gare Viotte...

Les bus perdent pas mal de temps

Ce mardi, une cinquantaine d'enquêteurs est déployé autour de Chamars, de la rue du Polygone à la rue Nodier en passant par la Rue de Dole et les ponts Canot et Charles de Gaulle, pour étudier les déplacements des véhicules: "Ils relèvent les 5 premiers éléments des plaques d'immatriculation afin de déterminer quels trajets sont réalisés à l'intérieur du périmètre", nous détaille Daniel Mourot, directeur du département Mobilités. Cette étude "origine/destination" doit permettre d'analyser finement le parcours des véhicules dans ce secteur surchargé aux heures de pointe.

Les données récoltées pourront permettre d'envisager certaines améliorations: nouveaux réglages de feux, modification des sens de circulation, incitation à emprunter d'autres axes... "Ces détails peuvent avoir toute leur importance", précise Michel Loyat, vice-président de Grand Besançon Métropole délégué à la Mobilité. Les marges de manoeuvre sont limitées, mais l'objectif est de faire passer "quelques voitures de plus, un bus" à chaque feu. 

Dans ce secteur "difficile aux heures de pointe", "où les bus perdent pas mal de temps", tout progrès, même léger, sera de toute façon bon à prendre.
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