Un petit billet glissé en début d'année au gardien d'immeuble, aux éboueurs, au facteur...  Il n'y a plus guère que les retraités pour penser à donner des étrennes. La tradition se perd. Les modes de vie et les habitudes ont changé. 

Fin décembre, début janvier, ils sonnent à votre porte pour vous proposer un calendrier en échange de quelques euros... Les sapeurs-pompiers ou les facteurs sont peut-être encore les seuls à entretenir cette tradition qui veut que l'on verse un petit pécule, début janvier, à ceux qui tout au long de l'année travaillent pour nous et pour la collectivité. 


Le reportage de Yoann Etienne, Romain Liboz et Laurence Crotet-Beudet avec :
-Bruno Benlahoues, gardien d'immeuble
-des riverains
-Adama Barry, aide-ménagère à AJ services 89


Les étrennes ont longtemps été bien ancrées dans les us et coutumes des Français. C'était même, avant que le Père Noël ne leur vole la vedette, le moment de l'année où l'on donnait des cadeaux. Les enfants recevaient en effet des jouets pour leurs étrennes et pas à Noël qui était surtout une fête religieuse loin du battage commercial d'aujourd'hui. En Bourgogne d'ailleurs - l'a-t-on oublié? - c'est le père Janvier qui distribuait les cadeaux dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier. 

Les étrennes sont passées au second plan. Certes, elles n'ont rien d'obligatoire, mais elles font partie des choses qui se font par bienséance. Alors à qui donne-t-on ? et combien donne-t-on? La réponse avec Jean Christophe Galleazi :




 






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