Quetigny crée une zone bleue

C'est la solution trouvée par la commune pour limiter les problèmes de stationnement liés à la mise en service du tram

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Le centre de Quetigny (21) en zone bleue

Avec l'arrivée du tramways, la ville de Quetigny anticipe les futurs problèmes de stationnement. Pour éviter l'effet "ventouse" aux alentours de la place centrale, terminus de la ligne T1, la municipalité a décidé de créer une zone bleue de stationnement.

Avec l'arrivée du tramway dans l'agglomération dijonnaise, la municipalité de Quetigny craint les problèmes de stationnement, notamment aux abords de la tête de ligne. Elle a donc décidé de créer une zone bleue aux abords de la place centrale.

Le but est de favoriser la rotation des voitures et éviter l'encombrement dans cette zone très fréquentée grâce à la présence de commerces. Les automobilistes pourront ainsi se garer gratuitement pendant 2 heures sur la place centrale et une heure le long de l'avenue du château. Au-delà, ils risquent une amende. Le disque bleu sera obligatoire à partir du 3 septembre, 1er jour de mise en service du tram, mais il sera utilisable à partir du 16 août pour une période de test.  

Un disque désormais européen

Peu de gens le savent, mais le disque bleu a changé. Depuis le 1er janvier 2012, c'est le modèle européen qui est de rigueur. Avec une seule fenêtre pour indiquer l'heure d'arrivée (l'ancien comportait une 2nde fenêtre avec l'heure de départ). Il permet d'être utilisable partout en fonctionner de la durée de stationnement des zones bleues Les nouveaux disques sont disponibles soit auprès de la mairie si celle-ci a décidé de prendre en charge la fabrication des disques, soit dans les magasins d’articles automobiles.

Une idée qui revient au goût du jour

Les zones bleues et le disque de stationnement ont été créés dans les années 50, lorsque le nombre de véhicules devient tellement important à Paris que le problèmes de circulation et de stationnement commencent à se faire sentir. Ils sont mis en place dans l'est de Paris pour la 1ère le 1er octobre 1957 et s'étendent bientôt à toute la France. Le système connaît son heure de gloire dans les années 70 avant de tomber peu à peu en désuétude, remplacé par l'horodateur plus efficace, et surtout payant! Aujourd'hui, il est encore utilisé dans certaines communes et fait même son retour dans certains centres-villes peut-être afin d'éviter d'installer des horodateurs coûteux ou régulièrement en panne ou vandalisés.

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