Des peines de prison ferme étaient demandées pour quatre personnes ayant un antécédent judiciaire.
Verdict : les peines vont d'une relaxe à deux mois de prison ferme, les huit gilets jaunes ont dix jours pour faire appel.
Pour Michel Passarelli, condamné à un mois avec sursis, 456 euros d'amende et 1 euro de dédommagement est en colère.
Je m'aperçois que l'Etat réussit à avoir ce qu'il veut, c'est-à-dire faire de la répression au maximum. On est là pour défendre des droits. On n'est pas là pour casser.
On retrouve plus de l'incompréhension pour Yves Bongain, condamné à un mois de prison ferme ou à 120 heures de Travail d'Intérêt Général (TIG).
Même entre nous, il y a des violences qui sont reconnues plus graves où des gens prennet du sursis et moi je prends de la prison ferme. Est-ce que parce que on a été leader du mouvement au début, on le paye aujourd'hui ? Je ne sais pas.