Pour rappel, après des semaines d'âpres négociations, et sous le regard vigilant de Bercy, un nouveau plan de sauvegarde de l'emploi avait été accepté par une grande majorité de salariés. Tous s'étaient prononcés à main levée.
Dans le détail ce nouveau plan prévoit de ramener de 792 à 485 le nombre d'emplois supprimés en contrepartie les organisations syndicales ont dû accepter un plan d'économies annuelles de 12 millions d'euros. Il envisage aussi de faire de Belfort, le centre mondial des turbines à gaz 50 hertz.
Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, qui a demandé à plusieurs reprises à GE de réduire son plan social, s'était "félicité" de la solution alternative négociée avec le concours de ses services et qui présente selon lui des "avancées majeures".
Reportage de Maxime Meuneveaux et Rémi Poirot
General Electric