replay

REPLAY. Euthanasie et suicide assisté : "On fait face à un interdit moral"

Comment vivre sa fin de vie dans la dignité ? C'est le thème du dossier de notre édition de 19h00 ce jeudi 22 septembre. À travers l'exemple de Marc qui a choisi l'euthanasie en Belgique, et n'a plus que la date à déterminer, et à travers l'expérience du professeur Alluin, chef de service des soins palliatifs au CHRU de Nancy. Mais l'actualité en Lorraine c'est aussi le crash d'un ULM en Moselle et des actualités plus douces en fin d'édition.

Marc a la maladie de Charcot. Ses capacités de communiquer avec ses proches, son autonomie, se réduisent petit à petit. Sa maladie est incurable. Il a vu son frère, atteint également de la maladie de Charcot, passer par les mêmes étapes que lui jusqu'à sa mort. Avec son épouse, il a décidé de choisir le moment de sa fin de vie. Son dernier voyage le conduira en Belgique, où l'euthanasie est légale. Elle est déjà programmé, à la date de son choix. 

À travers le cas de Marc, c'est sur le problème de la fin de vie que notre édition du journal de France 3 Lorraine s'est penché ce soir. Quelles sont les différences entre euthanasie, suicide assisté et le "laisser mourir" comme il est pratiqué en France ?  Le professeur Raphaël Alluin, chef de service des soins palliatifs au CHRU de Nancy était l'invité de notre journal : "Avec l'euthanasie, on fait face à un interdit moral. Ce n'est pas normal de donner la mort à quelqu'un. Ce que nous ne souhaitons pas voir en France, c'est la légalisation de l'euthanasie en alternative aux soins palliatifs dans un système qui ne peut pas répondre à tout le monde à l'heure actuelle, il y a une insuffisance de moyens techniques financiers et humains pour les soins palliatifs en France."

Crash d'un ULM en Moselle

Selon les premiers éléments, un ULM s'est écrasé quelques instants après avoir décollé de l'aérodrome de Guéblange-lès-Dieuze (Moselle). Il aurait pris feu lors du contact avec le sol, tuant les deux occupants sur le coup.

Les salariés de l'AEIM mobilisés

Manifestation ce jeudi matin 22 septembre des salariés de l'AEIM, association du secteur médico-social qui emploie 1400 salariés sur 35 sites du département. Ils étaient environ 150 à Villers-lès-Nancy, rassemblés à l'appel de CGT, FO et de la CGC pour réclamer l'intégration de la prime Ségur, octroyée aux soignants après la crise du Covid. Or, eux ne l'ont pas perçu. Ils revendiquent par ailleurs une revalorisation salariale pour compenser la perte de pouvoir d'achat avec l'inflation. 

Navettes fluviales

Dans le cadre de la semaine de la mobilité, une navette fluviale entre Frouard et Nancy (Meurthe-et-Moselle) est testée. En mode transport et plus en mode tourisme, c'est un test grandeur nature sur un nouvel usage de déplacement. Cet été 2022, un test identique a été fait sur la Moselle à Metz. 

Un institut pour enfants hyperactifs

On les dit violents, hyperactifs, souffrants de déficit de l'attention. Ce sont "des enfants presque comme les autres", le titre du documentaire d'Anne-Marie Avouac, à voir ce soir à partir de 23h sur France 3 Grand Est ou en replay. Des enfants, qui se retrouvent déscolarisés et que l'institut médico éducatif du Beau Joly à Mirecourt prend en charge, avec une équipe professionnelle bienveillante pour rompre avec la spirale de la violence. 

Fraispertuis City récompensé

La toute nouvelle attraction du parc de Jeanménil dans les Vosges Fraispertuis-City, "Les draisines" vient de remporter deux récompenses lors d'une cérémonie de remise de prix des parcs d'attractions à Londres : le "Park World Excellence Awards 2022". Un magazine spécialisé avait déjà récompensé cette même attraction dans deux catégories de son palmarès. Yeah !

Encore un tour dans la rue des quatre-églises à Nancy

Final en beauté de la série sur les commerçants de la rue des Quatre-églises à Nancy, avec Jérôme le perceur, Hamza le fripier street wear et Betty et Betty, les pin-ups au grand cœur.

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité