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REPLAY. Dégâts causés par les sangliers : les habitants de Petite-Rosselle excédés

Dans ce jardin de Petite-Rosselle, les sangliers ont tout ravagé.

Un stade en Meurthe-et Moselle, des jardins en Moselle ; les sangliers ne cessent de défrayer la chronique en causant de nombreux dégâts. Le maire de Petite-Rosselle (Moselle) a décidé de passer à l'action pour protéger les jardins de ses administrés. Et dans notre journal de ce 28 septembre, le dossier sera consacré à la vague de démissions qui touche plusieurs secteurs du marché du travail

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Après la pelouse du stade Aldo Platini de Joeuf (Meurthe-et-Moselle) qui a été entièrement retournée par des sangliers, lors du weekend du 24 au 25 septembre, c'est au tour des jardins de Petite-Rosselle en Moselle d'être ravagés par les ongulés. Le gibier cherche de la nourriture et n'hésite plus à pénétrer au cœur des villes, s'attaquant aux poubelles et aux espaces verts. Le parterre devant la mairie en a fait les frais.

Le maire de Petite-Rosselle, Éric Federspiel, prend le problème "très au sérieux". Il a contacté l'adjudicateur de la chasse et un lieutenant de louveterie. Ensemble, ils ont mis en place des mesures pour protéger les jardins des habitants. Et la première mesure consiste à rappeler qu'il est interdit de nourrir les animaux sauvages. D'autres mesures sont également envisagées avec les chasseurs, hors secteur urbain.

Les détails dans le reportage diffusé ce soir dans notre édition de 19h00.

La grande démission

Le dossier de ce mercredi 28 septembre est consacré à la grosse vague de démissions qui secoue le marché du travail en France. Les employeurs, notamment dans les secteurs du BTP, de la construction, des soins à la personne et de la restauration peinent à recruter. 

A l'image de ce coiffeur et ce restaurateur que nos équipes ont rencontrés en Moselle. 

Eve-Angeline Lambert, professeur d'économie apporte un éclairage sur ce phénomène post-Covid-19. La crise a permis de mettre l'accent sur des métiers mal reconnus, mal payés et souvent difficiles.

les salariés ne quittent pas leurs emplois pour ne rien faire, ils sont en quête de sens. Ils n'acceptent plus de travailler dans n'importe quelles conditions

Eve-Angeline Lambert, professeur d'économie

Les employés, qui n'obtiennent pas toujours de meilleurs salaires et conditions de travail, n'hésitent plus à quitter leurs emplois pour en chercher d'autres. Ce ne sont pas moins de 520.000 démissions qui ont été remises depuis la crise.

Et même si nombre d'employeurs ont revu les salaires à la hausse et rendu plus tolérables les conditions de travail, ils peinent encore à recruter. Ces filières n'attirent plus. 

Mobilisation à Metz de professionnels du secteur médico-social

Ce mercredi matin 28 septembre, des salariés de l'association de parents et de familles de personnes déficientes intellectuelles, ont manifesté leur colère à Metz (Moselle).
Oubliés du Ségur de la santé, les salariés des services administratifs et techniques demandent une revalorisation salariale, mais surtout une meilleure reconnaissance de leurs professions.

Le CHRU de Nancy Brabois se met à la mobilité verte

Vous n'imaginez pas le nombre de kilomètres parcourus par les véhicules dans l'enceinte même du CHRU de Nancy Brabois chaque année : 200.000 kilomètres ! Rapportés à une tournée de vaguemestre, par exemple, cela représente dix kilomètres par jour. Alors le CHRU se lance dans une campagne de véhicules électriques et autres modes de déplacement décarbonés, types trottinettes, vélos-cargo pour effectuer les déplacements du linge, des glacières de médicaments, des repas et des ordures. Écolo cet hosto !

La fête foraine d'Épinal confrontée à l'inflation

Même si le mercredi c'est tarif réduit, la fête foraine coûte cher aux amateurs de sensations fortes. Et si les patrons des manèges ont remplacé les ampoules par des leds, leurs factures énergétiques augmentent et ils doivent répercuter leurs dépenses. Attendre que les manèges fassent le plein n'est pas toujours la solution.

Rénovation de quatre orgues dans le canton de Spincourt

C'est un chantier extraordinaire qui est lancé dans le canton de Spincourt dans la Meuse. Quatre orgues vont être rénovées par le facteur d'orgues vosgien Victor Mangeol. Un chantier au coût de près de 200.000 euros rendu possible par l'action d'une association, qui a réussi à obtenir une subvention européenne de 189.000 euros et des dons à hauteur de 8.000 euros. 

Série sur la Voie Sacrée

Troisième volet, ce mercredi soir 28 septembre, de notre série sur la fameuse Voie Sacrée. Cette route départementale, qui relie Bar-le-Duc à Verdun en traversant dix communes, est un axe majeur nord-sud du département de la Meuse. 57 kilomètres balisés par des bornes casquées, qui sont parfois victimes des collectionneurs. Les bornes sont ainsi régulièrement nettoyées voire remplacées par d'autres, fabriquées dans de nouveaux matériaux. Il ne reste désormais plus qu'une seule borne d'origine.

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