
Devenir le 4ème constructeur automobile mondial, voilà le but de cette union. L'intérêt pour PSA, c'est l'ouverture du marché américain. Mais faut-il craindre des suppressions d'emplois ? Un débat dans "Dimanche En Politique" à revoir.
Les chiffres sont impressionnants : le nouveau groupe emploiera 410 000 salariés, produira 8,7 millions de véhicules par an pour un chiffre d'affaires de 170 milliards d'euros.
PSA s'ouvrira le marché américain, et, surtout, atteindra ainsi la taille critique pour des investissements lourds, notamment pour la voiture électrique.
Mais, en cas de doublon, les syndicats craignent des suppressions d'emplois.
Alors, on a tenté de répondre à cette question : ce mariage suscite des craintes ou des espoirs ?
Re(voir) ce Dimanche en Politique :
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PSA s'ouvrira le marché américain, et, surtout, atteindra ainsi la taille critique pour des investissements lourds, notamment pour la voiture électrique.
Mais, en cas de doublon, les syndicats craignent des suppressions d'emplois.
Alors, on a tenté de répondre à cette question : ce mariage suscite des craintes ou des espoirs ?
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Pour le débat, comme invités :
- Didier Klein, professeur à l'UTBM (Université Technologique de Belfort-Montbéliard) et responsable de Nord Franche-Comté Industrie
- Jérôme Broussard, secrétaire général de la CGT à Sochaux
- Jean-Paul Guy, Secrétaire CE PSA à Vesoul pour la CFTC
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