Depuis hier, les syndicats et une partie du personnel ne décolèrent pas et s'opposent à un projet d'augmentation du temps de travail non compensé en totalité. Une autre journée de mobilisation est déjà prévue le 22 mai prochain.
Ils étaient près de 70 hier à débrayer, et une vingtaine ce vendredi matin. De quoi perturber les chaînes de production. Des événements qui font suite à l'annonce, en début de semaine, d'une augmentation du temps de travail de 7,8% qui ne serait compensée que par une hausse du salaire de 2,8%.
"On refuse de travailler plus pour gagner moins" annonce Franck Guénot du Syndicat CGT. Alain Chrétien, le maire Les Républicains, pense au contraire qu'il s'agit d'une opportunité pour PSA de gagner de nouveaux marchés.
Il devrait y avoir plus de monde à la prochaine journée d'action, prévue le mardi 22 mai.