Processus de dialogue avec Paris, traitement des déchets, question des prisonniers dits "politiques", retour de la violence clandestine, menaces dont il dit avoir été victime... Invité de l'émission In Tantu Pulitica jeudi 26 janvier, Gilles Simeoni est revenu sur ces différents sujets lors d'un entretien avec Dominique Moret.
"Je suis persuadé que nous sommes aujourd'hui à un croisement, et que la Corse peut continuer à espérer aller vers le meilleur. [...] Comme elle peut, où elle risque, aujourd'hui de retourner vers le pire. Le pire, c'est la logique de conflit, la défiance et une société fragmentée, tiraillée, et malmenée par les logiques de violences multiples. De cette deuxième option, nous n'en voulons pas".
Invité d'In Tantu Pulitica jeudi 26 janvier, Gilles Simeoni a été interviewé sur différents sujets d'actualité : gestion des déchets, prisonniers dits "politiques", interpellations de militants indépendantistes, retour de la violence clandestine...
Concernant les menaces dont il dit avoir fait l'objet, le président de l'Exécutif indique "n'avoir déposé aucune plainte".
Sur le plateau d'In Tantu, il a aussi été question des discussions toujours interrompues avec Paris et de leur éventuelle reprise. Un sujet abordé le matin même dans l'hémicycle de l'Assemblée de Corse, notamment après une question orale posée par Jean-Martin Mondoloni pour le groupe de droite.
"Nous ne sommes pas en hibernation", a de nouveau martelé à ce sujet Gilles Simeoni à notre micro.
L'émission In Tantu Pulitica du 26 janvier :